Le campus des liens

Extension de l’événement Le Parlement des liens qui s’est tenu en juin dernier au Centre Pompidou à Paris, qui réunissait des intellectuel.le.s et des acteurs/actrices de la société pour penser l’interconnexion des êtres et le décloisonnement des savoirs. Avec l’aval de la maison d’édition « Les Liens qui libèrent », à l’origine du Parlement des liens, et du centre Pompidou, Le Campus des liens questionne cette interdépendance des disciplines qui modifie de plus en plus notre rapport au monde et au vivant.  Afin de mettre en lumière cette biodiversité des savoirs, une trentaine de collègues de l’UQAM, mais aussi d’ailleurs, appartenant à des disciplines différentes, a été invitée sur le mode d’une quinzaine de conversations de 30 à 40 minutes à se demander comment s’effectue cette interdépendance disciplinaire, quelle en est sa nature, sa forme et surtout comment elle permet de penser une société des liens. Véronique Cnockaert (Études littéraires/Figura)

Extension de l’événement Le Parlement des liens qui s’est tenu en juin dernier au Centre Pompidou à Paris, qui réunissait des intellectuel.le.s et des acteurs/actrices de la société pour penser l’interconnexion des êtres et le décloisonnement des savoirs. Avec l’aval de la maison d’édition « Les Liens qui libèrent », à l’origine du Parlement des liens, et du centre Pompidou, Le Campus des liens questionne cette interdépendance des disciplines qui modifie de plus en plus notre rapport au monde et au vivant.  Afin de mettre en lumière cette biodiversité des savoirs, une trentaine de collègues de l’UQAM, mais aussi d’ailleurs, appartenant à des disciplines différentes, a été invitée sur le mode d’une quinzaine de conversations de 30 à 40 minutes à se demander comment s’effectue cette interdépendance disciplinaire, quelle en est sa nature, sa forme et surtout comment elle permet de penser une société des liens. Véronique Cnockaert (Études littéraires/Figura)